LESS IS MORE
Ce mémoire tente d’apporter une réponse, une alternative à la problématique du développement durable. En un mot, le principe énoncé par MIES VAN DER ROHE « less is more » (moins c’est plus), pourrait résumer cette alternative. Comment faire plus, mieux, pérenne avec le moins de choses possibles, ce dont nous disposons, l’essentiel ?
En ces temps de crise où le maître mot est « il faut faire des économies », on peut réfléchir s’il n’est pas venu le moment de s’interroger sur notre propre consommation, qu’elle soit matérielle mais aussi plus largement la consommation d’espaces avec l’étalement urbain par exemple, voire de temps, sur lequel nous reviendrons ultérieurement.
La solution n’est pas forcément de consommer moins ou de façon plus pernicieuse « pas chère », mais de consommer différemment, durablement.
Face à la frénésie du matériel, il convient de « s’en détacher », car le matériel produit du déchet, que l’on sera amené à rejeter.
Mais très vite on se heurte à la résistance aux changements, notamment au schéma culturel occidental de la propriété privée. Dès lors, une problématique se pose : comment s’approprier un lieu qui n’est pas à soi, qui n’est pas sa propriété ?
Ainsi, partager, mutualiser, fédérer sont des voies, que nous proposons d’explorer.
Nous tenterons d’élargir le débat et d’oser proposer un changement de vie, nous l’espérons pour un monde meilleur par des solutions et des pistes concrètes.
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